Pique Nique CYCLO

Nouvelle édition de la randonnée pique-nique des cyclos du COV, et cette fois-ci sans pluie. Peu de monde sur le grand parcours, seulement 4 courageux, accompagnés par Benoît qui continuera seul sa route vers les Yvelines. En revanche, ils étaient 10 sur le petit parcours dont 5 féminines, Annick, Brigitte, Carole, Isabelle et Lysiane.

Sur le petit parcours, l'organisation fut assez désastreuse ! Dès le départ c'était mal parti. On se souvient de Mickaël qui, l'an dernier, avait oublié ses chaussures. Aujourd'hui, c'est Brigitte qui a oublié son casque. Il fallut bien 5 minutes pour évaluer s'il valait mieux aller chez Annick et Michel en voiture pour en récupérer un, ou risquer de rouler sans la précieuse carapace. Au bout de la réflexion, on prit la décision de rallonger le parcours et d'aller tous à Marsauceux à vélo pour équiper Brigitte d'un casque de prêt.

Bien que cette option rallongeait le parcours de 7,5 km et rajoutait une belle côte, elle fut très bénéfique car on en profita pour trouver un bidon pour Isabelle qui avait oublié le sien, et regonfler les pneus de Carole qui n'était pas montée sur son vélo depuis des lustres. Mais à contrario, on ne put rien faire pour Lysiane qui avait oublié de charger le parcours dans son GPS. Soyons justes, le retard provoqué par tous ces incidents n'était pas du seul fait des étourderies féminines, car il a tout autant fallu redonner un coup de pompe aux roues de Philippe LQ. Et pour terminer, aucune solution n'a pu suppléer l'étourderie de Joël qui avait bien mis le parcours dans son GPS mais qui avait oublié de le prendre avec lui...

A Marsauceux, on attend la fin de l'arrêt des féminines au stand. Philippe a déjà regonflé son vélo.

Tout cela accumulé, le débours se chiffrait déjà à une bonne demi-heure, mais Joël aggrava la situation à Nogent le Roi avec une belle crevaison à l'avant. Le Président, qui roulait sur le grand circuit avec Manu, Philippe G, Gégé et Benoît en fut immédiatement informé. C'est pourquoi un peu plus tard ils feront demi-tour sur la partie commune aux deux circuits pour que tout le monde arrive groupé sur les lieux du pique-nique.

Les parcours ont été très agréables, en dépit d'un superbe passage "gravel" tapissé de nombreux et gros silex tranchants, et d'un coup de stress terrible lorsqu'on a cru, quelques secondes, qu'il allait falloir prendre un passage à gué. Fort heureusement, nous avons pu emprunter une petite passerelle et nous retrouver sur l'autre rive sans nous mouiller les pieds.

La partie vélo étant terminée, nous nous sommes installés sous le saule pour nous protéger du soleil. En guise d'apéritif, nous avons bu du champagne en l'honneur de la deuxième petite fille d'Isabelle et Philippe et de l'anniversaire de Christine. Et Manu nous fit goûter un punch dont il a seul le secret de la composition.

Et ce fut le grand tournoi de pétanque. Deux équipes de 3 joueurs se sont farouchement opposées. Au lendemain de l'épreuve, on se sait toujours pas qui l'a emporté. On tirera ça au clair la prochaine fois.

Une nouvelle belle journée qui s'achève. Mais on se souvient que l'an dernier, c'est juste avant la partie de boules qu'Albano avait annoncé les premiers travaux de la semaine au Portugal. Cette fois-ci, rien n'a encore pu être pressenti de façon très précise. Des recherches sont en cours, mais n'hésitez pas à apporter vos idées ou vos suggestions. 

Aliénor d'Aquitaine

Peut-être ne le savez-vous pas, mais sans doute le savez-vous, en tout cas, trois de nos licenciés vont prendre le départ de la randonnée "La Ronde Aliénor d'Aquitaine" le lundi 4 juillet à 5 heures du matin. Ceux qui le souhaitent peuvent bien sûr aller encourager Alain, Daniel et Franck G sur le parcours. Ca leur fera plaisir.

Cette sympathique et pittoresque promenade de 1200 km est qualificative pour le Paris-Brest-Paris de l'année prochaine, mais il faut accomplir la distance en 90 heures maximum. Vu de loin, certains n'hésiteront pas à juger la performance réalisable sans trop de difficulté... mais les plus lucides seront plus réalistes. Effectivement, au premier coup d'oeil, le profil ne semble pas effrayant. On dirait que c'est quasiment tout plat, sauf une petite pointe au milieu du trajet.

Mais avec une distance aussi longue, le profil est écrasé, et durant les presque 600 premiers km relativement plats... les cyclos auront quand même déjà avalé un dénivelé de 5000 mètres. On est alors largement au niveau de nos belles sorties d'Eure et Loir puisque ça donne une moyenne au-delà de 800 m de D+ pour 100 km. C'est donc un bel échauffement avant d'attaquer les plats principaux : le col du Soulor (1474m) au km 624, le col d'Aubique (1709m) au km 634, et enfin le col de Labareille (1571m) au km 636 ! Ainsi donc, seulement 36 km après avoir digéré un D+ de 5000m, les voici avec 6600m dans la musette. Nous sommes bien dans les Pyrénées, ce n'est plus l'Eure et Loir. Ensuite, c'est le bonheur avec une belle descente de quasiment 90 km. On en connaît qui aimerait bien faire juste cette partie...

Si ça vous dit (mais les inscriptions sont désormais closes), voici le parcours, à lire dans le sens horaire. Si vous voulez créer votre GPX, cliquez ci-contre: https://www.openrunner.com/route-details/14095464

Pour vous aider à choisir un lieu idéalement placé pour les applaudir, voici le tableau qui vous indique les 17 points de contrôle. L'idéal serait bien sûr d'aller au sommet de l'Aubisque ou celui de Labareille.

La liste (partielle) des inscrits est claire : nos collègues ont minutieusement fourni toutes les pièces nécessaires à leur participation. Ils n'ont plus qu'à y aller !

Bon courage à eux.

Lors de la précédente édition, en juillet 2018, les organisateurs avaient pris en photo tous les "Finishers". Nous avons retrouvé nos trois champions, mais quand le photographe est arrivé, Daniel était déjà en train de se restaurer. Il n'a pas pu être pris sur la ligne d'arrivée.

La Champholoise

La reprise des activités se confirme encore, même s'il faut rester très conscient des problèmes sanitaires. Ne les oublions pas. Au départ de Vernouillet à 7 heures, nous étions 10 pour aller rejoindre le parcours de Champhol. Brigitte, Lysiane, Albano, Benoît, Claude B, Emmanuel, Gérard,  Michel, Pierre et Yves.

Emmanuel n'est pas là car il est arrivé avec 1'24'' de retard !!!

Photo prise par JP du VSD qui nous a accompagnés au départ.

Un timing réglé au rasoir leur a permis de rejoindre Annick aux inscriptions. De là, ils ont pris à onze le départ du 50 km, que seuls Annick et Michel ont parcouru intégralement. Les autres ont suivi leur itinéraire perso à partir du Gué de Longroi pour rallier Vernouillet.

Sur cette randonnée champholoise, nous avions aussi Isabelle sur le 80 km et Philippe G sur le 100 km mais en étant parti de son domicile. Enfin, nous avons vu Franck M, pâle compensation de l'absence du Franck présidentiel indisponible pour des motifs électoraux, qui a fait le 100 km en étant parti de chez lui, alors qu'il aurait pu quand même venir au départ à Vernouillet. Du coup, avec son parcours de 100, il ne fera pas plus de distance que tous ceux qui se sont  calés sur le 50, soit environ 118 km.

Le temps aura été très agréable pour les quatorze covistes. Légère fraîcheur au départ, très vite oubliée grâce aux premiers rayons ensoleillés. Nous n'aurons vécu que très peu d'incidents, hormis les quatre erreurs de parcours de Gégé sur les 40 premiers kilomètres... mais c'est pas de sa faute... la flèche de son GPS était à l'envers...

En fait, le pire aura été la crevaison de Lily qui désorganisera tout le minutieux timing de la matinée, spécialement étudié pour ne pas interférer avec la course du Tour d'Eure et Loir. D'aucuns ont prétendu que le Président savait que la roue était mal gonflée et que la crevaison serait inéluctable. Une enquête est en cours.

Le drame de la crevaison à 9h26

Beaucoup de monde s'affaire sur la malheureuse roue pour replacer le pneu

Pierre semble ne pas trouver cette méthode très optimale

Benoît rejoint la foule des dépanneurs. Il sent qu'il va être en retard à l'apéro.

Voilà pourquoi, alors que l'arrivée à Vernouillet était planifiée à midi trente, nous n'aurons pu atteindre Plein Sud qu'à midi trente-deux. Sans cette problématique crevaison, nous aurions étés ponctuels et Benoît ne serait pas arrivé en retard à l'apéro dominical organisé de longue date, et seule raison pour laquelle le départ avait été avancé à 7 heures.

Les arrêts du COV au point de convivialité du Carrousel de Baronville. Mention spéciale à Franck M qui a pensé à ne pas tout manger pour en laisser à ses camarades de club.

Pour finir, ce fut une sortie une nouvelle fois très sympathique, émaillée de nombreux sprints "pancartes" meurtriers. Prochaine date à retenir, la randonnée pique-nique du 26 juin. Déjà de nombreux absents (Albano, Benoît) ont annoncé leur forfait. On pensera bien à eux.

Challenges Mai

Challenge Casse : Un mois très sympathique bien qu'il ne soit pas aussi prolifique qu'avril. Avec un total de 21 points, c'est le deuxième meilleur mois de l'année. Un gros coup pour le président qui éclate un pneu au Portugal. Deux crevaisons arrière pour Lily et Benoît, une pour Albano, Alain L et Mickaël, et enfin une à l'avant pour Philippe G, Bubu, Alain L et Joël, ce dernier évitant de justesse un gros score avec la barrière de l'hôtel Pedra Bella... Pas de changement sur le podium si ce n'est le point supplémentaire de Philippe G.

Challenge Kilométrique : On aurait pu penser que les "Portugais" allaient faire très fort... cette idée était fausse car, dans les faits, le dénivelé aura imposé des distances moins importantes. C'est un autre étranger qui fait le plus beau score du mois, Alain LG, "Espagnol" du moment, avec 1247 km. Toutefois, notre Président bien-aimé n'est pas très loin avec 1192 km. Au classement général, on remarque que la tranche 3500 / 4000 est hargneusement disputée.

Weekend détente

Changement de régime, après la tension portugaise :  on est passé du rythme du forçat à celui du touriste. Tout d'abord pour Franck G, Philippe LQ, Benoît et Yves, ce fut une grande sortie vélo le vendredi 3 juin avec l'école de Garnay, chacun ayant un parcours différent. Tout le monde avait rendez-vous au stade d'Aunay sous Crécy pour un pique-nique avec les enfants.

Départ vers 9h15... Aunay à 5 kilomètres pour Yves qui réussit à combler la distance dans le temps imparti avec tout son groupe au complet. Mauvaise gestion de la vitesse sans doute, les CE1 sont arrivés à 10h15, et il a fallu faire attendre les enfants qui voulaient à tout prix attaquer leur sandwichs ! Franck et ses CE2 sont arrivés une petite heure après car ils avaient un parcours un peu plus long. Et c'est Philippe qui encadra les plus grands, avec quand même des passages exigeants, à tel point qu'il nous a fait attendre jusqu'à midi trente. Beaucoup d'estomacs commençaient à crier famine.

Pique-Nique à Aunay. On attend que tout le monde soit là pour manger.

Après le casse-croûte, retour à l'école mais en poussant tout d'abord jusqu'au stade des Grands Prés pour un rassemblement général, et l'incontournable protocole. La pluie nous a épargnés, à peine effleurés. Une journée somme toute bien agréable.

Franck et Philippe remportent facilement leur sprint devant les enfants après le tour du stade

Et ce fut un peu le même régime le dimanche 5, avec l'encadrement du Vernolitrail. Parmi les bénévoles qui allaient assurer les fonctions de commissaires de courses aux points dangereux des différents parcours, on a pu compter 4 cyclos du COV, et ça tombait très bien car il fallait justement 4 vélos pour jouer les voitures balai ! Il y avait aussi Rémy accompagné de son épouse pour assurer la circulation à une intersection.

Franck et Benoît sur le 18 km, Yves sur le 9 km, et Philippe, encore épuisé du grand parcours de vendredi, assure le 5 km.

Des champions qui ont généreusement sacrifié leur sortie dominicale pour la manifestation vernolitaine

Coup de chapeau à Franck qui n'a pas hésité une seule seconde pour renoncer à prendre le départ du 600 du MSD.

Les 4 commissaires pendant leur sérieux tour de chauffe

C'est à la fin de cet échauffement qu'ils ont croisé Claude C venu sur les lieux en supporter

Le départ est donné à 10h05 :

Du côté de la Tabellionne, un quatuor de saxophones jouait "On n'est pas là pour se faire engueuler" de Boris Vian.

Un quatuor de très belle tenue

Mais d'autres cyclos ont choisi un autre style de détente... Franck M, Philippe G et Alain L n'ont pas été effrayés par les risques d'orages, qui ont été cependant réels, en prenant le départ du 600 du MSD. Aux dernières nouvelles, ils sont tous arrivés. De la pluie au départ mais, contre toute attente, un temps assez beau sur tout le reste du parcours. L'humidité aura quand même joué des tours au GPS de Franck qui ne le suivra pas sur tout le parcours. Pas encore de nouvelles d'Alain (*), mais on ne se fait pas de soucis pour lui, puisque ce Brevet passait par Honfleur, une de ses destinations préférées ! Franck pour sa part a roulé avec Philippe sur tout le parcours.

Un superbe cœur dessiné sur la France

Il y a eu hélas un petit souci avec Fifi qui, semble-t-il, aurait coupé tout droit pour gagner un peu de distance entre Fécamp et Ouistreham. L'enquête est en cours et pour l'instant l'accusé reste présumé innocent. Si cette attitude venait toutefois s'avérer, ce serait une grosse déception pour notre club car ce n'est pas notre état d'esprit. Si l'on ne se sent pas capable de faire un 600, il y a des distances, certes plus courtes, voire moins longues, que l'ont peut faire sans avoir recours à la tricherie. Attendons la fin des investigations...

Pour tous les participants, assez peu nombreux, ce fut un beau périple évidemment, mais ne soyez pas triste si vous n'avez pas pu y participer. Vous aurez une occasion de vous rattraper très vite avec l'appel du 600 de Flins dès le 18 juin. Départ : 5h30 depuis l'Orangerie au parc Jean Boileau.

Et pour terminer ce petit topo, ne vous avisez pas d'oublier qu'aujourd'hui c'est l'anniversaire de notre Président. Il pourrait vous en cuire et une radiation définitive serait fort envisageable.

(*) : Alain est très bien arrivé, malgré une crevaison à l'arrière . De son propre aveu, cette édition aura été aussi difficile que le premier 600 de sa carrière, il y a plus de dix ans.