La Roulebois

Pas moins de 14 covistes au stade Jules Bigeard de Nogent le Roi ce dimanche 11 septembre, pour la randonnée du Roulebois. Brigitte, Lysiane, Gérard, Franck G, Guy, Pierre, Claude B, Philippe LQ, Yves, Emmanuel, Joël, Daniel, Philippe G et Franck M.

Entre les trois parcours proposés (90, 75 et 55), la grande majorité a choisi le plus long, tout en partant de la mairie de Vernouillet. Ca faisait donc une distance de quelque 135 km, une bonne mise en bouche pour le 200 de samedi prochain.

Mais voilà, nous avions quelques stressés de l'apéro qui, de peur d'être en retard au(x) verre(s) précédant le repas dominical, décidèrent de faire le 75 km afin de gagner de précieuses minutes.

Voici les quatorze sociétaires du COV qui arrivent sur le stade embrumé :

Daniel

Franck

Philippe

Emmanuel

Joël

Brigitte, Franck

Guy, Philippe

Lysiane, Yves

Pierre, Claude, Lysiane

Pierre, Claude

Gérard

Ca y est ! Tout le monde est là.

Le choix des parcours : 90 pour Lily et Guy, 75 pour Brigitte et Manu

C'est fait ! On va y aller. Sur cette photo, quatre pour le 90 et trois pour le 75

Les vélos sont enfourchés sous un beau brouillard bien humide (ce qui est tout à fait normal, le brouillard étant composé de gouttelettes d'eau) et l'on sent bien que l'automne est proche, voire que l'été est en train de se terminer. Le groupe principal est composé de 11 cyclos, les deux autres (Fifi et Philippe G) étant partis plus tôt sur le 90. Autre méthode pour ne pas rater l'apéro tout en faisant le grand parcours.

Joël contemple Bubu qui attaque, écrasé sur son vélo (il doit y avoir une pancarte)

Les autres sont plus sages (Bubu vient de passer en tête)

Le soleil transperce le brouillard

Il faudra attendre quand même environ 30 à 40 kilomètres pour retrouver le soleil. Dès lors, la randonnée sera très agréable, avec quelques côtes, mais loin d'être traumatisantes. C'est en arrivant au ravito que ceux du 90 reçoivent un texto les informant du drame qui a frappé ceux du 75. Voulant aller trop vite, à force de malmener son pédalier de ses appuis terrifiants sur les pédales, Manu finit par casser sa chaîne. Lui qui voulait gagner du temps... eh ben c'est gagné ! Par chance, il y avait un dérive chaîne dans la bande, la réparation a pu être faite sans avoir à attendre le passage des valeureux participants du 90 km.

Les 90 au ravito...

... pendant que Pierre et Manu réparent la chaîne

Chacun reprend sa route après cette belle tranche de rigolade. Après le ravito, il ne restait qu'une trentaine de kilomètres pour rejoindre le stade, et venir récupérer la coupe du club le plus représenté. C'était aussi le club avec le plus de féminines.

Franck et Guy viennent de passer la côte de Béchereau

Puis Lily et Philippe

Et tout le monde arrive sans problèmes... enfin... presque :

Tout d'abord Philippe

Puis Daniel et Fifi (qui a maintenant deux chambres à air crevées dans sa sacoche)

Gégé, Brigitte et Manu.

Franck, Guy

Lily, Yves

Bubu, Joël

Franck reçoit la coupe du club le plus représenté

C'est l'arrivée. Pot de l'amitié

Et c'est au cours de ces discussions à bâtons rompus que l'on apprend, quelle surprise !, que Franck Fifi, parti plus tôt pour gagner du temps, a été injustement victime de DEUX crevaisons à l'avant. Fifi est magnifique, il ne sait plus quoi faire pour nous distraire, et il a réussi son coup. On a bien rigolé ! Merci Fifi. Hélas, on n'a pas de photo.

Joël a eu sa bière de justesse. Il videra le fût.

Une très belle journée, très bien servie par une parfaite organisation

Fifi rentre chez lui à pied !

Il ne faudrait pas qu'il perce une nouvelle fois, il n'a plus de chambre à air !

Nous voilà prêts pour le 200 du samedi 17. La météo semble vouloir être prometteuse. Qui sera présent ? Hélas, pas Fifi; soumis à des obligations auxquelles il n'a pas pu échapper malgré tous ses efforts. Benoît non plus, mais c'est normal. Il a fait un test COVID qui s'est révélé négatif... alors il a décidé de rester sous la couette pour la Roulebois, et maintiendra sa position pour le 200. Reste enfin le retour tant espéré d'Albano... On verra.