04/07/2022

La Pagaille du dimanche

Pourquoi faire simple quand on peut compliquer ? C'est ce que se sont dit nos rouleurs du dimanche, épopée mouvementée que nous narre Benoît, alias casque orange tout à droite :

Ce 3 juillet, nous partîmes à 7 (Alain LG, Benoît, Bubu, Gérard, Manu, Maxime et Philippe G), roulâmes à 6 sur les trois quarts du parcours et arrivâmes à 8.

A peine après avoir franchi Flonville (alors qu'Albano dormait encore profondément, malgré nos appels, après une nuit de débauche...) Gégé s'est arrêté pour réparer sa cassette qui se dévissait (Est-ce le retour de la maladie qui avait déjà frappé Guy en mai 2017 ?....  La Cassette de Guy )

Gérard répare sa cassette avec un masque pour se protéger de toute infection

Il a bien essayé de soigner la cassette défectueuse en lui appliquant un masque chirurgical, mais ce fut un échec aussi retentissant que resplendissant. Aussi, décida-t-il autoritairement de rebrousser chemin vers le bloc opératoire privé de son garage.

Alors que les six rescapés, roulant à bonne cadence, passaient le km 58, ils virent arriver en face un cyclo qui semblait avoir une bien fière attitude ! C'était leur Gégé tout revigoré et rayonnant d'avoir pu ranimer sa cassette. Il avait alors repris le parcours à contresens pour aller au devant de la troupe et la ramener ensuite à vive allure afin de rattraper le temps qu'il leur avait fait perdre par sa négligence à Flonville. Les voici revenus à sept.

C'est un peu plus tard qu'ils récupérèrent un huitième larron en la personne de Claude venu chaperonner tout ça... Son parcours en solitaire empruntait la fin du parcours officiel du jour.

Resté discret jusque là, c'est en arrivant cimetière de Vernouillet qu'Emmanuel creva pour offrir le clou du spectacle, plus précisément sa roue arrière creva. Lui, était en plein forme.

Belle sortie donc pour ce premier dimanche de juillet. On voit bien que les vacances ont commencé avec cette désorganisation due à un relâchement évident après une éprouvante saison. Mais n'oublions pas que pendant cette joyeuse débandade, d'autres préparaient très soigneusement leur matériel avant le départ de la Ronde d'Aliénor d'Aquitaine.
A gauche Franck G, à droite Daniel, son fidèle coéquipier belge, Franck Leruse, au fond
A l'heure où vous lisez cet article, ils sont désormais sur la route.


1 commentaire:

JB a dit…

Attention mesdames, Alienor fut une maitresse femme !!!

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