Dimanche dernier, Benoît crevait à un petit kilomètre de l'arrivée chez lui. C'est ballot mais rigolo ! Il a donc décidé de nous faire rire encore ce dimanche 11 juillet. Mais c'est au bout de 2km après le départ qu'il s'est retrouvé avec un pneu à plat. Bon moyen pour casser la cadence qui promettait d'être soutenue. La réparation effectuée, c'est Gégé, très énervé qui porte l'estocade et imprime un rythme assez rythmique alors que nous ne sommes pas encore chauds (il faut dire que Gérard est énervé depuis la défaite de l'équipe de France au championnat d'Europe de football). Dès lors, à défaut de planter des buts, ce sont des accélérations qui ont fusé, auxquelles il faut ajouter des sprints pancartes.
Du coup, Benoît quitte le groupe au niveau de Boutigny pour rejoindre une réunion de famille du côté du circuit de Linas Montlhéry, programmant son parcours pour faire 100 km.
Les autres continuent leur petit bonhomme de chemin, avalant les kilomètres les uns après les autres. Certains manifestent leur désaccord avec le tracé du parcours qui comporte trop de changements de direction. D'autres en sont ravis car ça permet de casser la cadence et de souffler quelques secondes de temps en temps.
Voici enfin Vernouillet... l'apéro se profile et c'est bon après cette sortie à plus de 25 km/h de moyenne. Poussé par un élan de générosité, Yves décide d'accompagner Albano jusqu'au sommet de la côte de Billy, il passera ainsi la barre des 100 km. Mais c'est juste avant cette montée qu'Albano se rappelle au bon souvenir de Benoît et crève dans la rue du Vieux Pavé ! Bon... ce n'est pas à 1 km de chez lui, mais quand même, il n'habite qu'à 2 km de là. La chance aura voulu qu'il soit accompagné pour réparer.
Faudra-t-il créer un nouveau barème pour accorder des points qui tiennent compte de la proximité de l'arrivée, ou du départ ? Idée à creuser.
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